Images magnifiques,
mais rythme anémique et lecture
chaotique : le film de samouraïs
se fait hara-kiri.
Merci, on sait qu’il n’y a plus de place !
Du coup, comme le maestro,
on vous fait la leçon :
pourquoi on a les boules,
en quatre chapitres.
Comédie douce avec le regretté James Gandolfini dans un rôle improbable.
Sympathique, sans être transcendant.
Entre mer et montagne, niché sur la côte Ouest de l’île, Ajaccio et les monts qui l’entourent regorgent de traces du passé Corse
et de paysages uniques.
FICHE TECHNIQUE : Comédie, de Quentin Dupieux (France / États-Unis).
Durée : 1 h 25. Avec Mark Burnham,
Marilyn Manson, Éric Judor,
Daniel Quinn, Eric Wareheim...
Mademoiselle Moineau,
alias Mesparrow se pose à la Centrifugeuse.
On en piaffe d’impatience.
Une vie vaut-elle autant qu’une œuvre d’art ? La question est posée à Georges Stout. Plongé dans le noir d’une salle de conférence, l’homme explique l’urgence : sauver les œuvres d’art de la destruction, dans une Europe en plein dénouement de la Seconde Guerre mondiale.
Cheveux blonds, teint clair, les yeux plein de bleu et de candeur, la bouche en cœur. Une vraie gueule d’ange, Giédré. Avec ses fringues de petite fille sage et ses bijoux infantiles, on lui donnerait le Bon dieu sans confession…. Jusqu’à ce qu’elle l’ouvre. Là, y ‘a comme un contraste. Un monde, même. Et on vous garantit que ce n’est pas celui des Bisounours ! Oreilles prudes, s’abstenir. Ennemis du cynisme et du « quarante-douzième » degrés : fuyez ! Sous ses faux airs de Candy qui aime les sucettes à l’anis, Giédré commet des chansons qui forment une saga «crush » (la crudité des textes est assez … croustillante), voire trash.